French Senate: Armenian Genocide Denial Crime

The international community and particularly Armenians, Turks and citizens of France were closely following the French Senate’s day-long debate on whether to criminalize the denial, in France, of the Genocide of Armenians. Immediately prior to the debate, the prime minister and foreign minister of Turkey threatened France with severe diplomatic and economic repercussions if the Senate affirmed the proposal.

The French Senate voted 127 for to 86 against. Following President Sarkozy’s signature, it becomes law, criminalizing the denial of the Genocide of Armenians.

The international community and particularly Armenians, Turks and citizens of France were closely following the French Senate’s day-long debate on whether to criminalize the denial, in France, of the Genocide of Armenians. Immediately prior to the debate, the prime minister and foreign minister of Turkey threatened France with severe diplomatic and economic repercussions if the Senate affirmed the proposal.

The French Senate voted 127 for to 86 against. Following President Sarkozy’s signature, it becomes law, criminalizing the denial of the Genocide of Armenians.

Dans un communiqué rendu public par le catholicossat arménien de Cilicie, il a estimé que ce faisant, Paris « ouvre la voie à la Turquie pour qu’elle corrige son registre historique ». « Le vote du 23 janvier 2011 ramène à notre mémoire des épisodes du génocide arménien lorsque la marine française avait évacué une partie de notre peuple vers le Liban pour éviter qu’elle ne subisse le même sort que ses compatriotes. Ce vote s’inscrit ainsi dans le prolongement de l’engagement historique de la France en faveur des droits de l’homme », a-t-il dit.

Mgr Aram Ier a ensuite estimé qu’à travers ce vote, Paris est également « en train d’aider la Turquie à rejoindre les rangs des États courageux qui se sont engagés dans des processus de réconciliation », en citant notamment l’Allemagne, l’Afrique du Sud, le Rwanda, la Serbie et le Canada.

« C’est une opportunité pour la Turquie, a-t-il ajouté, de renoncer à son discours négationniste et de cesser de considérer les États qui défendent les droits de l’homme comme étant irresponsables ».